Les mobilités actives telles que le vélo sont dans l’air du temps. Les Français sont de plus en plus nombreux à redécouvrir l’usage utilitaire des bicyclettes : on se déplace aujourd’hui deux fois plus à vélo qu’au début des années 2000.
Des infrastructures favorisant ce mode de transport permettent alors d’augmenter la pratique. En France, Strasbourg et Grenoble, qui ont massivement investi dans des infrastructures destinées au vélo et aux modes de transport « doux » voient aujourd’hui la pratique de la bicyclette exploser : 16% des actifs vont travailler à vélo à Strasbourg, et 15% à Grenoble. Saint-Étienne est aujourd’hui loin derrière avec seulement 1% des actifs allant travailler à vélo.
De plus, les voies vertes métropolitaines sont destinées à plusieurs types d’usagers : les cyclistes, les piétons, les trottineurs, les joggeurs, etc. : de quoi encourager les stéphanois à délaisser leurs véhicules motorisés au profit de modes de transport actifs.